Le porte-parole a commenté la déclaration d'Armen Grigoryan, secrétaire du Conseil de sécurité de l'Arménie, affirmant dans une interview à l'agence Armenpress le 14 février que le projet d'accord de paix avec l'Azerbaïdjan comprenait la "création d'un mécanisme international pour discuter des droits et de la sécurité des Arméniens vivant au Karabagh".
Selon Hadjizadé, de telles manipulations par la partie arménienne, qui entravent le processus de négociation sur un accord de paix, démontrent une fois de plus que l'Arménie n'est pas intéressée à établir la paix dans la région.
"Au cours des négociations de l'accord de paix, l'initiative de l'Arménie de "créer un mécanisme international pour la protection des droits et de la sécurité" des résidents arméniens vivant au Karabagh de l'Azerbaïdjan, et les efforts pour l'inclure dans le projet d'accord, sont totalement infondés, et de telles tentatives n'aboutiront à rien.
Ces efforts montrent que l'Arménie n'a pas encore renoncé à ses revendications territoriales contre l'Azerbaïdjan, contrairement aux normes et principes du droit international, ainsi qu'aux accords de Prague et de Sotchi, selon lesquels les pays ont reconnu mutuellement leur intégrité territoriale et leur souveraineté.
Nous voudrions rappeler une fois de plus que le Karabagh fait partie intégrante de l'Azerbaïdjan et que les droits et la sécurité de la population d'origine arménienne vivant dans cette région seront garantis conformément à la Constitution de la République d'Azerbaïdjan.
L'ingérence arménienne dans le processus de réintégration des résidents d'origine arménienne, qui est une question interne de l'Azerbaïdjan, est inacceptable", a-t-il affirmé.
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